Embry : coup de tonnerre.
« Cité de la réussite»
Le pays a besoin d’être gouverné avec impartialité. La justice, la solidarité, le respect, l’écoute, la participation, le travail honorable pour tous, sont plus que jamais des valeurs indispensables dans la vie de tous les jours si l’on veut que les générations montantes s’inscrivent dans un idéal national généreux.
Les prises de position, les débats et discours de Ségolène confirment une volonté d’avenir encourageante pour tout un chacun. Le monde de l’entreprise, y compris syndical, appelé à participer à l’avènement d’un marché du travail plus juste est annonciateur d’une société moins partisane. La démocratie participative, pièce maîtresse du projet est porteuse d’espérance.
Le message dont Ségolène est l’inspiratrice est adulé par une majorité de Français. Il est révélateur d’une exigence intime et profonde chez les individus, celle d’accéder à la responsabilité des actes comme des devenirs. Il est en quelque sorte l’embryon d’une société qui évolue vers l’autonomie dans la pluralité et la différence.
Le désir de participer à la construction de son pays est plus que louable. Ségolène a raison d’encourager ce désir humain et de tendre vers un choix de société dont la culture individuelle est la condition essentielle d’une évolution maîtrisée. Un choix d’avenir qui comporte en son sein la volonté de ne laisser personne dans le fossé, pas plus la jeunesse, les démunis que ceux qui, par leur travail et leur expérience, ont un savoir, des compétences, un patrimoine…
Que finisse la main mise sur les affaires du pays par quelques privilégiés et doctrinaires qui décident pour les autres, s’arrogent les pouvoirs et pour certains manipulent les critiques.
Oui, tout le monde est tributaire de tout le monde, chacun a des comptes à rendre, un désir de vivre la vie.
Francis Alexandre (Décembre 2006)