LEBIEZ : cérémonie des vœux : on reparle d’un ancien projet !

En accueillant ses invités, dimanche dernier, Marc Dubois, en bon pédagogue, a expliqué la loi Nôtre qui a conduit à la fusion de la Communauté de communes de Fruges avec celle d’Hucqueliers. Une première année passée à harmoniser l’ensemble des services et du personnel. Et mettre en œuvre des projets comme celui de l’abattoir qui à ses yeux : « végétait depuis plus de 15 ans ». Le service des ordures ménagères a connu quelques modifications avec la suppression du ramassage du verre à domicile : « un service pas très utilisé par la population » selon ses dires et a permis de réaliser des économies. Au niveau local grâce au TEPCV, la commune va pourvoir au remplacement des 41 lampes existantes par 111 nouveaux points lumineux en leds et tout en faisant encore des économies. Le haut débit est enfin arrivé dans le village en attendant la fibre. En suspend  également le règlement de sinistres sur les bâtiments communaux, l’église en l’occurrence, suite à l’épisode de grêles de juillet dernier. Le projet de réfection de chemins, décidé il y a un an, est une nouvelle fois différé en attendant les subventions. Le lotissement  de Logis 62 « le Clos du marécage » pose problème. En effet les locataires ne restent pas compte tenu de certaines incivilités récurrentes. Autre problème celui de la vitesse excessive dans la traversée du village qui n’est toujours solutionné. L’année dernière la municipalité a consenti d’importants travaux à l’école du Rpi de la Créquoise. Et les efforts vont se poursuivre cette année avec l’achat d’un tableau numérique et de nouvelles tables réglables. Une autre idée  trotte dans la tête des élus locaux avec l’achat  d’une maison qui jouxte, la mairie, l’école, l’atelier communal. Pour l’instant il n’y a pas de projets précis mais l’immeuble et le terrain qui l’entoure, représentent 4 000 m² d’un seul tenant et offre de nombreuses possibilités d’extension (école par exemple), de construction… Et de  remémorer un projet de l’ancienne municipalité de Paul Fournier de l’autre côté de la route, c'est-à-dire une salle municipale. Pour le nouveau maire : « l’achat de ce terrain mitoyen permettra d’envisager un projet plus économique, plus pratique. Si nous ne l’achetons pas maintenant l’occasion ne se représentera plus ». D’autant plus que la vente du presbytère permettra de financer cet achat. Et il va rencontrer l’Etablissement public financier qui se rendra acquéreur pour cinq ans et permettra aux élus locaux d’élaborer un nouveau projet.