A la suite d 'un article de presse mettant en cause les micro-stations Belges dont de nombreusx utilisateurs viennent de chez nous, Stéphane Triplet met les choses au point.
Et c'est alors que, sentant sans doute la fin de son règne arriver à grands pas après 2 ou 3 bilans désastreux (qu'il l'ont obligé à revendre sa fabrique de poudre "perlipinpin magique") , que le roi du bac à litière pour chats ne trouva rien de mieux que de critiquer maladroitement d'autres techniques concurrentes, amalgament ce faisant des procédés dont il ne connait rien .... A- t'il seulement déjà plongé une fois ( une fois c'est belge ! mdr !) ses mains blanches dans sa "litière pour chats" colmatée de biomasse ?
La Belgique n’a pas à rougir des techniques qu’elle emploie avec un recul de plus de 20 ans en micro stations
Il ne faut d’ailleurs pas faire d’amalgame car en terme de micro station il se distingue très nettement :
- Les boues activées
- Les systèmes SBR ( variante de la boue activée )
- Les cultures fixées
- Les cultures fixées immergée aérobies
Cette dernière filière est d’ailleurs la dernière génération des techniques épuratoires par voie de digestion bactérienne et est présente à plus de 70% sur le marché belge depuis de nombreuses années et plus de 250 000 références en Europe
L’on pourrait s’interroger pourquoi la filière type filtre bactérien est interdite en Belgique
Pourquoi également cette filière n’est elle pas présente sur le plus important marché européen : l’Allemagne
Pourquoi elle n’est pas plus présente dans les autres pays de la Communauté Européenne
Sur un marché aussi important que décrit, pourquoi seulement 2000 filières de ce type sont placées annuellement sur l’ensemble de l’hexagone soit seulement 20 installations / an / département ce qui représente moins de 1,5 installation / mois et par département.
La réponse peut-être dans les nombreux procès qu’essuie cette filière suite aux disfonctionnements de tous types observés
Pourquoi le Comité Supérieur d’Hygiène Publique de France a-t-il émis un avis négatif sur cette filière le 7 juillet 2003 ( séance du 8.12.2002 ) ?
Pourquoi le Comité Supérieur d’Hygiène Publique de France attire-t-il l’attention sur les risques de colmatage de la zéolithe utilisée et sur la nécessité de la renouveler
( séance du 9.12.2003 ) ce dont ne fait pas état EPARCO dans son article ?
Pourquoi les deux ministères de tutelle actuels ( Environnement et Santé ) ont-ils strictement limité la filière de filtre à zéolithe aux seules habitations d’une capacité maximale de 5 pièces principales et contraint à un prétraitement ( fosse toutes eaux ) en amont de la filière de 5 m³ minimum, c'est-à-dire près du double des volumes
( 3 m³ ) imposés aux autres filières pour une même capacité d’habitation ?
Pourquoi faire croire à une nécessité de vidange tous les 15 ans seulement alors que la réglementation ( et les scientifiques ) prévoient une obligation de vidange tous les 2 à 4 ans. A moins que les 15 ans annoncés représentent la fréquence de remplacement du filtre à zéolithe, auquel cas attention aux frais que devra supporter l’utilisateur devenu captif ?
D'autant que certains sont déjà colmatés au bout de peu d'années (par la biomasse ou les rongeurs....)
Lorsque la pression de la concurrence devient trop forte, certains fabricants trouvent refuge dans le dénigrement
Encore faut-il le faire à bon escient et savoir de quoi l’on parle ! ....
PJ: Avis du CSHPF .
Pour EPUR, S. Triplet dépositaire 59/62/80/60/95
Beaucoup plus sérieusement et professionnellement, nous répondons ceci: