Mon cher JJH

Malgré nos (quelques) petits désaccords,  je dois avouer que j’ai beaucoup appris de toi depuis que j’ai fait ta connaissance,  c'est-à-dire il y a plus de 40 ans.

Tu as connu plusieurs vies que tu as vécues avec la passion exacerbée que tu mettais dans tout ce que tu entreprenais. Comme enseignant, responsable associatif, principal de collège, maire, président de Communauté de communes. Mais aussi homme politique. Après les années glorieuses,  tu es toujours resté fidèle à un Parti Socialiste, un moment moribond, mais qui renait de ses cendres avec Blandine.

Et combien de fois nous avons refait le monde ensemble au terme d’interminables discussions.

Je me souviens de notre première rencontrer en 1978 : j’entrai alors de plein pied dans le microcosme politique local frugeois. Et ses galères ! Et depuis je n’en suis plus jamais sorti. Je crois avoir toujours été à tes  côtés, dans les bons comme dans les mauvais moments car nous partagions les mêmes idéaux.

Mais  avant d’atteindre les sommets (locaux soyons modestes), il a fallu  crapahuter du temps de la conquête de la mairie de Fruges avec Eugène Rolland et de ch’guetteu,  des campagnes animées Wilquin-Desprez du café Noëlla jusqu’à l’arrivée de Jean-Claude Leroy qui a fait l’unanimité.

Mais aussi avaler bien des couleuvres : c’est la dure loi de la vie politique qui veut ça avec quelques cadavres sur le bord de la route. Mais tant il s’agissait de l’intérêt général !

De déceptions en trahisons, tu as quelquefois mis un genou à terre, courbé l’échine, mais jamais baissé la tête. Comme un boxeur, plutôt qu’un rugbyman et judoka que tu as été, tu as encaissé les coups. Et à chaque fois, ton orgueil, ta volonté de fer ont repris le dessus.….

Une personne a bien parlé de toi et évoqué ton tempérament lors de  ton départ en retraite et une phrase est restée gravée dans ma mémoire : « homme de pouvoir, son besoin de reconnaissance».

Un tempérament de battant,  de gagnant et de visionnaire aussi, qui a fait de notre territoire une brillante réussite. Combien de générations de jeunes peuvent te témoigner leur reconnaissance pour les services rendus. Certains pour les avoir remis dans le droit chemin avec ta poigne légendaire de « Tonton » de principal de collège, là aussi à la pointe du progrès et de la modernité.

J’ai appris avec toi qu’il fallait être patient, ne jamais renoncer. Et surtout rester fidèle à son idéal en sachant aussi tirer les leçons du passé.

La vie est un éternel recommencement…. Même au-delà.

Mais tu vas nous manquer P…..

Mon cher JJH

Malgré nos (quelques) petits désaccords,  je dois avouer que j’ai beaucoup appris de toi depuis que j’ai fait ta connaissance,  c'est-à-dire il y a plus de 40 ans.

Tu as connu plusieurs vies que tu as vécues avec la passion exacerbée que tu mettais dans tout ce que tu entreprenais. Comme enseignant, responsable associatif, principal de collège, maire, président de Communauté de communes. Mais aussi homme politique. Après les années glorieuses,  tu es toujours resté fidèle à un Parti Socialiste, un moment moribond, mais qui renait de ses cendres avec Blandine.

Et combien de fois nous avons refait le monde ensemble au terme d’interminables discussions.

Je me souviens de notre première rencontrer en 1978 : j’entrai alors de plein pied dans le microcosme politique local frugeois. Et ses galères ! Et depuis je n’en suis plus jamais sorti. Je crois avoir toujours été à tes  côtés, dans les bons comme dans les mauvais moments car nous partagions les mêmes idéaux.

Mais  avant d’atteindre les sommets (locaux soyons modestes), il a fallu  crapahuter du temps de la conquête de la mairie de Fruges avec Eugène Rolland et de ch’guetteu,  des campagnes animées Wilquin-Desprez du café Noëlla jusqu’à l’arrivée de Jean-Claude Leroy qui a fait l’unanimité.

Mais aussi avaler bien des couleuvres : c’est la dure loi de la vie politique qui veut ça avec quelques cadavres sur le bord de la route. Mais tant il s’agissait de l’intérêt général !

De déceptions en trahisons, tu as quelquefois mis un genou à terre, courbé l’échine, mais jamais baissé la tête. Comme un boxeur, plutôt qu’un rugbyman et judoka que tu as été, tu as encaissé les coups. Et à chaque fois, ton orgueil, ta volonté de fer ont repris le dessus.….

Une personne a bien parlé de toi et évoqué ton tempérament lors de  ton départ en retraite et une phrase est restée gravée dans ma mémoire : « homme de pouvoir, son besoin de reconnaissance».

Un tempérament de battant,  de gagnant et de visionnaire aussi, qui a fait de notre territoire une brillante réussite. Combien de générations de jeunes peuvent te témoigner leur reconnaissance pour les services rendus. Certains pour les avoir remis dans le droit chemin avec ta poigne légendaire de « Tonton » de principal de collège, là aussi à la pointe du progrès et de la modernité.

J’ai appris avec toi qu’il fallait être patient, ne jamais renoncer. Et surtout rester fidèle à son idéal en sachant aussi tirer les leçons du passé.

La vie est un éternel recommencement…. Même au-delà.

Mais tu vas nous manquer P…..

Mon cher JJH

Malgré nos (quelques) petits désaccords,  je dois avouer que j’ai beaucoup appris de toi depuis que j’ai fait ta connaissance,  c'est-à-dire il y a plus de 40 ans.

Tu as connu plusieurs vies que tu as vécues avec la passion exacerbée que tu mettais dans tout ce que tu entreprenais. Comme enseignant, responsable associatif, principal de collège, maire, président de Communauté de communes. Mais aussi homme politique. Après les années glorieuses,  tu es toujours resté fidèle à un Parti Socialiste, un moment moribond, mais qui renait de ses cendres avec Blandine.

Et combien de fois nous avons refait le monde ensemble au terme d’interminables discussions.

Je me souviens de notre première rencontrer en 1978 : j’entrai alors de plein pied dans le microcosme politique local frugeois. Et ses galères ! Et depuis je n’en suis plus jamais sorti. Je crois avoir toujours été à tes  côtés, dans les bons comme dans les mauvais moments car nous partagions les mêmes idéaux.

Mais  avant d’atteindre les sommets (locaux soyons modestes), il a fallu  crapahuter du temps de la conquête de la mairie de Fruges avec Eugène Rolland et de ch’guetteu,  des campagnes animées Wilquin-Desprez du café Noëlla jusqu’à l’arrivée de Jean-Claude Leroy qui a fait l’unanimité.

Mais aussi avaler bien des couleuvres : c’est la dure loi de la vie politique qui veut ça avec quelques cadavres sur le bord de la route. Mais tant il s’agissait de l’intérêt général !

De déceptions en trahisons, tu as quelquefois mis un genou à terre, courbé l’échine, mais jamais baissé la tête. Comme un boxeur, plutôt qu’un rugbyman et judoka que tu as été, tu as encaissé les coups. Et à chaque fois, ton orgueil, ta volonté de fer ont repris le dessus.….

Une personne a bien parlé de toi et évoqué ton tempérament lors de  ton départ en retraite et une phrase est restée gravée dans ma mémoire : « homme de pouvoir, son besoin de reconnaissance».

Un tempérament de battant,  de gagnant et de visionnaire aussi, qui a fait de notre territoire une brillante réussite. Combien de générations de jeunes peuvent te témoigner leur reconnaissance pour les services rendus. Certains pour les avoir remis dans le droit chemin avec ta poigne légendaire de « Tonton » de principal de collège, là aussi à la pointe du progrès et de la modernité.

J’ai appris avec toi qu’il fallait être patient, ne jamais renoncer. Et surtout rester fidèle à son idéal en sachant aussi tirer les leçons du passé.

La vie est un éternel recommencement…. Même au-delà.

Mais tu vas nous manquer P…..

FRUGES : le décès de Jean-Louis Pocholle.